Les extensions capillaires connaissent un succès énorme et croissant. Il existe sur le marché différentes qualités et techniques de pose à des tarifs qui varient de 150 à 1500 euros ! Cet écart s'explique par la provenance des cheveux utilisés et leur tenue sur la durée. Zoom sur notre sélection alliant prix doux et qualité et sur les cheveux qu'on préfère éviter.
Nous importons directement les cheveux d'Inde afin de vous offrir une qualité exceptionnelle à des tarifs intéressants.
Les Hindous se rendent au temple de « Tirupati » (dans le sud de l’Inde) où ils font offrande de leurs cheveux à leur dieu vénéré. Les cheveux sont délicatement tressés par des coiffeurs avant d'être coupés, les écailles du cheveu restent donc dans le même sens : REMY/SINGLE DRAWN.
Les femmes indiennes prennent grand soin de leurs cheveux (bains d'huile, aucun produit chimique utilisé, etc...) : leur cheveu est donc fort et brillant. L'épaisseur et la forme de la cuticule des cheveux indiens sont aussi les plus proches de celles des Européens.
Plutôt que d'être jetés, les cheveux sont recueillis et vendus à des usines indiennes lors d'enchères. L'argent ainsi récolté sert à la création d'écoles, de dispensaires et d’hôpitaux dans la région.
Les usines exportent les cheveux dans le monde entier sous deux formes :
Les experts GHS ont parcouru l'Inde et ont sélectionné une usine parmi des milliers présentes sur le marché.Celle-ci est réputée pour sa qualité, son savoir-faire et son éthique en contribuant financièrement à la vie sociale des gens en difficultés.
Ils sont adaptés mais quasi introuvables et le peu en vente sur le marché est souvent traité chimiquement.
Ce sont les derniers « nés » sur le marché. Ils sont de bonne qualité mais sont issus de la vente par des femmes en grande difficulté financière. Ce n’est donc pas un choix de leur part. Ceci ne correspond pas à notre éthique GHS.
Bien qu’on les trouve en grande quantité, nous ne pouvons les utiliser pour des femmes européennes, la section du cheveu chinois étant ronde (trop épais et rigide) par opposition à celle ovale du cheveu Caucasien. On utilise cependant ce cheveu pour l’élaboration de perruques et de postiches.
Des centaines de milliers de femmes indiennes collectent leurs cheveux sur leurs brosses et les vendent pour subvenir à leurs besoins. Ceci est non seulement contraire à notre éthique mais de plus ne répond pas à nos critères de qualité (cheveux de longueurs, épaisseurs et couleurs différentes, écailles dans des sens différents : NON REMY / Double drawn). Les usines soumettent ensuite les cheveux à un traitement d'acide agressif afin d’enlever la couche de cuticule et empêcher qu'ils s'emmêlent, les rendant opaques et fragiles. Afin de les rendre « en apparence uniquement » brillants et soyeux, ils sont recouverts d’une couche de silicone. Mais cet artifice n’est que de courte durée ! Les cheveux s’emmêlent et s’assèchent et créent un réel inconfort : les extensions doivent être retirées !